Culte du dimanche 24 janvier – Le fils prodigue ou le fils perdu et retrouvé
L’équilibre entre la logique d’équivalence et la logique de surabondance est-elle possible dans notre société ? Au plan individuel, juridique, social et politique ?
L’équilibre entre la logique d’équivalence et la logique de surabondance est-elle possible dans notre société ? Au plan individuel, juridique, social et politique ?
La justice n’est donc pas une action que l’homme développe, mais un don de Dieu grâce auquel il se retrouve non juste mais justifié. C’est un renversement complet qui substitue à la recherche des vertus humaines, la seule acceptation reconnaissante d’une grâce.
De même dans nos vies, personne ne peut échapper au danger de certaines forces naturelles ou de certains événements tragiques qui semblent frapper de manière aveugle. Il est bon alors de pouvoir crier sa détresse au Dieu tout-puissant pour lui demander qu’il nous délivre de ce danger… mais nous n’échappons pas toujours au malheur qui guette nos vies.
Joyeux Noël ! Ce souhait que nous échangeons exprime notre joie en ce jour de fête : Dieu s’est fait l’un d’entre nous. Il est venu habiter chez les hommes.
Alors que nous sommes réunis pour prier les uns avec les autres et que nous nous cherchons le calme et la sérénité pour avancer vers Noël, soyons attentifs à l’appel qui résonne en nous, chaque fois que nous délaissons le superflu pour nous tourner vers l’essentiel…
Bonne nouvelle ! Puisque aujourd'hui. venus ici pour accueillir l’enfant de Bethléem, qui veut naître parmi nous, nous pouvons nous dire les uns aux autres : Joyeux Noël !
Bienvenue à toutes et à tous, nous voici réunis pour prendre le temps de laisser Dieu venir à notre rencontre et de creuser en nous le désir de nous réchauffer en sa présence.
En ce début de l’Avent , Dieu vient réveiller nos cœurs alourdis, il vient secouer notre torpeur spirituelle. Il nous donne d’écouter à nouveau les murmures de son Esprit qui, en nous prie, veille, espère...
Que la prière partagée soit riche de ce qui a rempli les jours écoulés : nous venons chargé de tout ce qui a impacté nos vies, tel un baluchon sur l’épaule, où se trouve pêle-mêle tout le fatras accumulé au fil des jours…